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Vous êtes mort un soir de Anna de Noailles
Vous faites voir des os quand vous riez, Heleine de Paul Scarron
Vous implorez en vain, pauvre troupe insensée de Jean Ogier de Gombauld
Vous languissez, mes vers... de Jean de Sponde
Vous m'avez dit, tel soir... de Émile Verhaeren
Vous m'aviez dit que vous m'aimiez bien fort de Marguerite de Navarre
Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre de Pierre de Ronsard
Vous me dites toujours où tendent mes desseins de Antoine de Nervèze
Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse de Philippe Desportes
Vous ne me demandez pas de Karl Kraus
Vous qui aimez encore ne sçavez de Étienne de La Boétie
Vous qui avez écrit qu'il n'y a plus en terre de Théodore Agrippa d'Aubigné
Vous qui habitez l'Orque noir de Flaminio de Birague
Vous qui n'ensorcelez les troupes vagabondes de Christofle de Beaujeu
Vous qui retournez du Cathai de Paul-Jean Toulet
Vous qui riez de mes douleurs de Honorat de Bueil, seigneur de Racan
Vous qui sans corps, Démons, errez en France de Christofle de Beaujeu
Vous qui sur mon front, toute en larmes de Charles Guérin
Vous qui voulez savoir que c'est que de l'amour de Jean Godard
Vous quiconque allechez des voluptez charnelles de Jean-Baptiste Chassignet
Vous rochers orgueilleux, et vous forêts fidèles de Flaminio de Birague
Vous souvient-il de l'auberge de Paul-Jean Toulet
Vous, ô Dieux, qui à vous presque égalé m'avez de Étienne Jodelle
Voyant ces monts de veue ainsi loingtaine de Mellin de Saint-Gelais
Voyant l'ambition, l'envie, et l'avarice de Joachim du Bellay