Accueil> Les poètes> Théodore Agrippa d'Aubigné
A l'éclair violent de ta face divine
A longs filets de sang ce lamentable corps
Accourez au secours de ma mort violente
Au temps que la feille blesme
Au tribunal d'amour, après mon dernier jour
Auprès de ce beau teint, le lys en noir se change
Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle
Ce doux hiver qui égale ses jours
Complainte à sa dame
Contre la présence réelle
Dans le parc de Thalcy, j'ai dressé deux plançons
Diane, ta coutume est de tout déchirer
En mieux il tournera l'usage des cinq sens
En un petit esquif éperdu, malheureux
Est-il donc vrai qu'il faut que ma vue enchantée
Extase
J'ouvre mon estomac, une tombe sanglante
Je brûle avec mon âme et mon sang rougissant
Je sens bannir ma peur et le mal que j'endure
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