poésie de fleurs

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Les Poèmes de Joachim du Bellay


A l'ambitieux et avare ennemi des bonnes lettres

A Madame Marguerite, d'écrire en sa langue

A monsieur d'Avanson

A son livre

A Vénus

Après avoir longtemps erré sur le rivage

Astres cruels, et vous dieux inhumains

Au fleuve de Loire

Au Roi

Autant comme l'on peut en un autre langage

Ayant tant de malheurs gémi profondément

Baif, qui, comme moi, prouves l'adversité

Brusquet à son retour vous racontera, Sire

C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore

C'était alors que le présent des dieux

C'était ores, c'était qu'à moi je devais vivre

Ce n'est l'ambition, ni le soin d'acquérir

Ce n'est le fleuve tusque au superbe rivage

Ce n'est pas sans propos qu'en vous le ciel a mis

Celle que Pyrrhe et le Mars de Libye

 

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