poésie de fleurs

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Les Poèmes de Joachim du Bellay


Loyre fameux, qui ta petite Source

Magny, je ne puis voir un prodigue d'honneur

Maintenant je pardonne à la douce fureur

Malheureux l'an, le mois, le jour, l'heure et le point

Maraud, qui n'es maraud que de nom seulement

Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil

Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur

Maudit soit mille fois le Borgne de Libye

Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire

Muse, qui autrefois chantas la verte Olive

N'étant de mes ennuis la fortune assouvie

N'étant, comme je suis, encore exercité

Ne lira-t-on jamais que ce dieu rigoureux

Ne pense pas, Bouju, que les nymphes latines

Ne t'ébahis, Ronsard, la moitié de mon âme

Ni la fureur de la flamme enragée

Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue

Non pour ce qu'un grand roi ait été votre père

Nous ne faisons la cour aux filles de Mémoire

Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome

 

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