Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay
Je ne découvre ici les mystères sacrés
Je ne suis pas de ceux qui robent la louange
Je ne te conterai de Bologne et Venise
Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
Je ne veux point fouiller au sein de la nature
Je vis haut élevé sur colonnes d'ivoire
Je vis l'oiseau qui le soleil contemple
Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine
Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
L'olive
La Complaînte du désespéré
La grecque poésie orgueilleuse se vante
La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
La nef qui longuement a voyagé, Dillier
La terre y est fertile, amples les édifices
Las où est maintenant ce mespris de Fortune
Le Babylonien ses hauts murs vantera
Le Breton est savant et sait fort bien écrire
Le grand flambeau gouverneur de l'année
Les Boys fueilluz, et les herbeuses Ryves
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