Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay
Quand cette belle fleur premièrement je vis
Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
Quand je vois ces messieurs, desquels l'autorité
Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
Quand le Soleil lave sa tête blonde
Que dirons-nous, Melin, de cette cour romaine
Que ferai-je, Morel ? Dis-moi, si tu l'entends
Que n'ai-je encor la harpe thracienne
Quel est celui qui veut faire croire de soi
Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
Qui est ami du coeur est ami de la bourse
Qui niera, Gillebert, s'il ne veut résister
Qui voudra voir tout ce qu'ont pu nature
Qui voudrait figurer la romaine grandeur
Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour
Ronsard, j'ai vu l'orgueil des colosses antiques
Sacrés coteaux, et vous saintes ruines
Scève, je me trouvai comme le fils dAnchise
Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon oeil
Si après quarante ans de fidèle service
<< < 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 > >>