Accueil> Les poètes> Joachim du Bellay
Si celui qui s'apprête à faire un long voyage
Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
Si l'aveugle fureur, qui cause les batailles
Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
Si la vertu, qui est de nature immortelle
Si les larmes servaient de remède au malheur
Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
Si nostre vie est moins qu'une journée...
Si onques de pitié ton âme fut atteinte
Si par peine et sueur et par fidélité
Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
Si tu m'en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
Si tu ne sais, Morel, ce que je fais ici
Si tu veux sûrement en cour te maintenir
Sire, celui qui est a formé toute essence
Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique
Sur la rive d'un fleuve une nymphe éplorée
Sur un chapelet de roses du Bembe
Tant que l'oiseau de Jupiter vola
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