Accueil> Les poètes> Charles Vion d'Alibray
Aime, si tu le veux, je ne l'empesche pas
Cleon, depuis le temps que tu perdis ton pere
J'ay fait des vers toute ma vie
Je ne t'impute point l'amour que je te porte
Je ne vay point aux coups exposer ma bedaine
Maintenant qu'un air doux nous ramene un beau Jour
Songe, songe Mortel, que tu n'es rien que cendre
Tirsis, laisse parler le vulgaire insensé
Ton corps plus doux que ton esprit
1