poésie de fleurs

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Les Poèmes en D

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De même que Rousseau jadis fondait en pleurs de François Coppée

De mes ans la fleur se déteint de Philippe Desportes

De mon mystérieux voyage de Charles Van Lerberghe

De mon sang exhalé toute l'humeur périe de Béroalde de Verville

De Monsieur de Saint Gelais pour mettre au devant de Mellin de Saint-Gelais

De Oluire, médecin, et Cacus, ancien voleur de Étienne Forcadel

De profundis clamavi de Charles Baudelaire

De quel soleil, Diane, empruntes-tu tes traits de Étienne Jodelle

De quelle manière le péché anéantit l'homme de Georges de Brébeuf

De quelque autre sujet que j'écrive, Jodelle de Joachim du Bellay

De Rose de Jean-Antoine de Baïf

De sa grande amie de Clément Marot

De sa juste amour et estrange peine de Guillaume Des Autels

De sa Sainte de Guillaume Des Autels

De ses vers, à sa Sainte de Guillaume Des Autels

De soi-même de Clément Marot

De son plaisir de Albert Babinot

De Sponde, ton malheur fut ta félicité de Honorat Laugier De Porchères

De ta lèvre mignarde un fin sucre courant de François Scalion de Virbluneau

De tant d'astres la nuit à nos yeux descouvers de Jean-Baptiste Chassignet

De ton rêve trop plein de Rainer Maria Rilke

De tout ce gala de province de Paul-Jean Toulet

De visitation de Max Elskamp

De voir mignon du roi un courtisan honnête de Joachim du Bellay

De votre Dianet (de votre nom j'appelle de Joachim du Bellay

 

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