poésie de fleurs

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Les Poèmes en J

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J'ay veu ses yeulx perçans, j'ay veu sa face claire de Étienne de La Boétie

J'ay voulu voyager, à la fin le voyage de Jean-Baptiste Chassignet

J'écris ; entre mon rêve et toi la lampe chante de Charles Guérin

J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge de François Coppée

J'entends la triste Philomèle de Antoine de Nervèze

J'estois prest d'encourir pour jamais quelque blasme de Étienne de La Boétie

J'étais couché dans l'ombre au seuil de la forêt de Charles Guérin

J'étais en liberté quand celle qui m'engage de Siméon-Guillaume de La Roque

J'étais monté plus haut... de Théophile Gautier

J'étais un arbre en fleur où chantait ma Jeunesse de Charles-Augustin Sainte-Beuve

J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle de André Chénier

J'eusse été citoyen de quelque république de Emmanuel des Essarts

J'ose glisser sur ton douteux empire de Salomon Certon

J'ouvre mon estomac, une tombe sanglante de Théodore Agrippa d'Aubigné

Ja le matin, qui l'univers redore de Marc-Claude de Buttet

Jà n'est besoin que plus je me soucie de Pernette du Guillet

Jà reluisoit la benoiste journee de Étienne de La Boétie

Jade faux de Victor Segalen

Jahel de Léon-Pamphile Le May

Jalousie de François Tristan L'Hermite

Jaloux de Germain Nouveau

Jamais de Alfred de Musset

Jane de Leconte de Lisle

Janvier de Louis-Honoré Fréchette

Janvier de François Coppée

 

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