Accueil> Les poètes> Charles Guérin
Ô poète inquiet du monde
Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève
Pour couronner la blonde enfant aux yeux d'azur
Qu'on ouvre la fenêtre au large...
Requiem d'automne
Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
Sois pure comme la rosée
Souvent, le front posé sur tes genoux...
Ton coeur est fatigué des voyages...
Ton image en tous lieux peuple ma solitude
Tu rangeais en chantant pour le repas du soir
Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor
Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
Une flûte au son pur...
Vous qui sur mon front, toute en larmes
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