Accueil> Les poètes> Charles Guérin
Je te vois anxieuse et belle de pâleur
Je vais sur la pelouse humide de rosée
L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage
La chanson de la bien-aimée
La maison dort
La maison serait blanche et le jardin sonore
La pensée est une eau sans cesse jaillissante
La voix du soir
Le lait des chats
Le rosaire des cloches
Le soir léger, avec sa brume claire et bleue
Le temps n'a point pâli ta souveraine image
Le tiède après-midi paisible de septembre
Le vent est doux comme une main de femme
Ma douce enfant, ma pauvre enfant...
Ma fenêtre était large ouverte sur la nuit
Mélodie païenne
Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair
Ô jeunesse, fervent et clair foyer d'amour
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