Accueil> Les poètes> Antoine Favre
Ce n'est pas sans raison, que l'homme on accompare
Il estoit bien seant que ce corps veritable
Le Phenix ja chargé de chair, et de vieillesse
Ô nuict, heureuse nuict, plus blanche que l'aurore
Quelles obscuritez, quels importuns nuages
1