poésie de fleurs

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Les Poèmes de Philippe Desportes


Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris

Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé

Epigramme

Hélas ! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites

Icare est chu ici, le jeune audacieux

J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider

J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune

Je crois que tout mon lit de chardons est semé

Je l'aimais par dessein la connaissant volage

Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse

Je ressemble en aimant au valeureux Persée

L'âpre fureur de mon mal véhément

Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux

Las ! que me sert de voir ces belles plaines

Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir

Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée

Marchands, qui recherchez tout le rivage more

Misérables travaux, vagabonde pensée

Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez

Ô bien heureux qui peut passer sa vie

 
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